Au Feu [ Etape 1 GP-RPG ] 2

AU FEU !
Quel belle soirée d'automne ce jour là ! Il faisait frais et le vent s'engouffrait doucement dans les écuries . J'étais couché au fond de mon box entrain de fermer les paupières quand la brise m'apporta une odeur de panique , de peur , de feu : ça venait tout droit des écuries poneys ! Je me relevai précipitamment et dilatai les naseaux pour mieux sentir l'odeur du FEU !

[ je vous laisse inventer la suite ]

J'étais paisiblement allongé dans mon box tout en pensant à Zénit et à Précieuse. Quand tout à coup, j'entendis un cheval du box voisin s'agiter. Je me leva et passa la tête dehors. J'aperçus alors quelque flammes venir peu à peu, des stalles à poneys. Tout de suite, je pensa à Zénit. Affolé, je tourna en rond dans mon box pour chercher une solution puis, me stoppa net. Voyons Pépite, tu es un Frison, courageux, fort !. J'eus alors une idée en prononçant ces mots: taper de toute mes forces dans la porte de mon box. Je tapa 3 ou 4 fois dedans et elle se brisa. Quand je fus dans l'allée des box à chevaux, j'essaya de délivrer le Criollo qui était en danger. Je me dis qu'il fallait le plus vite possible, délivrer tous les chevaux pour que les flammes ne deviennent pas dangereuses pour eux...

Tandis que je dormais paisiblement dans mon box, une odeur me réveilla. Je regarda dehors et vit un Criollo et un Frison qu'il essayait de délivrer. J'aperçus pas loin, derrière eux: des flammes ! Je m'affola et ne sut que faire. Je cabra et hennit, en espérant que quelqu'un viendrait me sortir de mon box. Je pensa très fort à Nawak, mon prince charmant.

Echec

J'étais dans mon box, patient. Je n'avais pas peur du feu. Les hennissements stridents de mes compères retentissaient dans les oreilles et me donnait mal à la tête. Je regarde tout le mon s'affoler moi j'étais calme et paisible. Au bout de quelques minutes, les teintes orangées se firent plus nombreuses.
*Bon je vais peut-être sortir*
Je me met dos à la sortie et envoi une puissante ruade qui casse la porte déjà abîmée en moins de deux. Je sort en secouant ma grande crinière, comme un prince. Je regarde les autres avec des yeux exaspérés et attend qu'ils trouvent une solution.

J'était paisiblement installé dans mon box. Je me mise debout et sentit une odeur effrayante: le feu !
J'entendait les hennissements des autres chevaux. Ayant entre peur et aucune inquiétude, je me mise face à la porte et je frappa violemment la porte une, deux, trois fois ! Je pensa à Sheïtan, avait-il sentit l'odeur des flammes ou était-il bloquer dans son box. Sans m'en rendre vraiment compte je fonça dans la porte de mon box et j'aperçu un frison délivrer les chevaux. Quand à moi je passa devant les portes de box, cherchant Sheïtan à tout prix.

Je dormais quand je sentis une odeur bizarre.
Le feu !!!
Je tapa sur la porte de mon box avec fougue.
Je pensa à Aurore et cette pensée m'aida a achever la porte.
Je sortis de mon box à tout allure et j'apperçus Aurore.
Je galopa vers elle.
-Ca va ?

Peu à peu, je passa au trot rapide, devant chaque box et ouvrit le loquet. J'aperçus au loin, les flammes qui se rapprochait de plus en plus. Je voulait tant rejoindre les poneys pour voir si ils allaient tous bien et si surtout, ma Zénit adorée était sain et sauf...

[3 lignes minimum by Tonerre ]

Les flammes se rapprochaient de plus en plus.
Si nous ne bougions pas vite nous serions emprisonnés !
Je cabra de terreur.
Un cheval ouvrait les loquets des boxs.
Je l'aida et ouvrit les boxs, un par un.
Les flammes se rapprochaient...

Tandis que je tournais en rond dans mon box, toujours en espérant qu'on allait me sortir de là, la porte de mon box s'ouvrit tout à coup. Je fus rassuré mais toujours aussi inquiète pour mon Nawak chéri. Je sortis de mon box et aperçus d'autre chevaux sortir de leur box grâce à un des Frison qui les délivraient, un par un. Mais je n'aperçus pas Nawak. Je commença alors à marcher et à regarder par dessus les box, si je ne l'apercevaient pas mais rien à faire, je ne le voyait pas...

Je me mise à aider Sheïtan et l'autre frison à ouvrir les box. Mais il fallait aussi pensez au poney. Les chevaux était presque tous libérer mais les poneys avait-il réussi à ouvrir leurs box, n'étant pas sure je me dirigea vers Sheïtan tous en ouvrant les box en vitesse. Une fois à ces cotés je dit:

-Sheïtan, il faut que l'on s'occupe des poneys, s'ils n'ont pas réussi à sortir, ils risqueront leur vies

-Oui mais ce sera dur. Je suis sur qu'ils ont réussis à s'en sortir.
Fais un écard pour éviter le feu.
- En tout cas va falloir sortir bientôt si on veut par risquer d'être coincé !

[Cookie la fuite des chevaux/poneys a lieu le 7 Novembre ! Wink

]

Tandis que j'ouvrais un par un les box à chevaux, j'entendis la discussion du Pur Sang-Arabe et de la jument. Je m'approcha et lui dit:

- Tu sais, je pense que si les palefreniers nous voyaient dans les stalles à poneys, on risquerait de se faire gronder ! Et puis en plus, les flammes ont l'air de s'agiter de plus en plus là-bas ! Nous ne pouvons même pas passer et nous pouvons encore moins sortir des box ! Je pense qu'ils vont se débrouiller, comme nous, ne t'inquiète pas pour eux !

( Sheïtan n'est pas un frison c'est un pur sang arabe )
-C'est ce que je pense aussi.
Je me tournas brusquement vers Aurore.
-Tu sais où est BlackJack ?

[J'ai éditer, désoler ! ]

- Merci.

Je continua alors, d'ouvrir les box à chevaux. Je pensait à Zénit sans cesse. J'avais tellement envie, pourtant, d'aller l'aider mais je ne pouvais malheureusement pas. Je me contenta alors de libérer tous les chevaux afin qu'ils ne se brulent pas avec les flammes.

J'ouvrait les loquets et quand ils ne cédaient pas, c'était les sabots. Je regardais Sheïtan et le frison ouvrir les portes également. A ce rythmes, nous aurions bientôt ouvert toutes les portes es box

3 lignes Minum by Tonnerre

Mon box se situait dans le fond de l'écurie, alors que je somnolais, je sentis tout d'abord une odeur acre venir dans mes naseaux, une odeur dont je n'avais pas souvent l'occasion de sentir, mais une odeur qui ne me fit pas douter une seule seconde : du feu !
Tendant l'oreille, j'entendis des sabots dans les box plus bas, des hennissements, je m'approcha de la porte de mon box passa la tête furtivement, je n'arrivais pas a reconnaître les équidés devant moi, mes yeux s'affolèrent, je rentra ma tête essayant de me calmer. Je repassa ma tête, me concentra mais la peur brouillait ma vision, désemparé, je décida d'appeler devant moi :

- Je ... je ... euh, toi en face, je ... je n'arrivais pas à m'exprimer, résigner j’espérais à présent que quelqu'un est compris mon désarroi.

En ouvrant tous les box. Un cheval avait passé la tête à sa porte. Il marmonnait quelque mots incompréhensible mais je compris tout de suite, qu'il voulait sortir. Je lui ouvra le loquet et lui dit:

- Ça va ?

La soirée était paisible, et pourtant, je n'étais pas tranquile. J'étais nerveux, je m'agitais dans mon box en essayant de trouver le sommeil, quand une odeur étrange m'interpellas. Je m'arrétais, la tète haute, les naseau dilatés, les yeux équarquillés. De la fumée. Je sentais de la fumée partout, une odeur insupportable. Le feux! Une agitation se fit entendre à l'autre bout de l'écurie. En tendant la tète, je pouvais voir des chevaux affolés qui s'échappait et des flammes oranges qui progressait à vue d'oeil. Je commencais déja à respirer difficilement, la fumée était partout. Mes yeux pleurait, je n'y voyais déja plus beaucoup. Je devais sortir ! Je me souvenais de Banco, qui réussissait à faire tourner le loquet de la porte, mais malgrès mes efforts, je n'y arrivais pas. La prote était solide, et je n'arrivais pas à la briser ! Je ne voulais pas mourir dans ce brasier ! L'adrénaline décupla mes forces, et la porte ne résista pas à mes vigoureuse ruades. Une fois dehors, je cherchais les autres chevaux en toussant. Il ne fallait oublier personne! Je m'approchais d'un petit groupe affolé, j'avais reconnu la robe blanche d'Aurore à travers la fumée.
_Aurore ! Sheïtan ! Tout vas bien ?

Black Pearl

Je dors tranquillement, véritablement couchée au sol dans le fond de ma stalle, quand j'entend les hennissements de panique de mes voisins. Que se passe-t'il? Je reste au sol. Je ne commencerai pas à paniquer avant de savoir ce qui se passe! J'essaie de déceller un son, quelque chose qui expliquerai l'état de paniques des occupants des boxes tout proches. Rien. Je me concentre et essaie de déceler une odeur maintenant. Je renifle, je renifle, je renifle... Rien du tout. Enfin, peut-être que si, mais je n'arrive pas à identifier l'odeur. Les bruits cessent peu à peu. Bon! Je savais que ça ne servais à rien de paniquer... Malgré tout, ma curiosité me pousse à lever un peu le cou pour regarder en haut des lattes de bois qui servent de portes à mon box. Un éclair orangé et rougeâtre transperce la faible noirceur de la place. Ça, j'ai déjà vu! Du feu! Je me lève soudainement et regarde les boxes alentour. Normal que les cris aient cessés! Il n'y a personne dans les boxes près du mien. Ils ont été libérés! Pourquoi m'ont-ils laissée là!? Soudain, la réponse me frappe en pleine figure. C'est rare qu'une jument dorme sur le sol. Hors, moi je le fais et en plus, je suis noire. Donc, ils avaient peu de chance de me voir dans l'obscurité! Pour me faire entendre, je commence à frapper la porte de mon box avec mon sabot avant gauche. Si personne ne m'entend, je suis cuite... Carrément!

Lorsque le cheval noir m'ouvrit la porte du box, rien que sa présence me calma, je fermas les yeux un instant, les rouvrit et m'exclama calmement :

- Merci Pépite, merci beaucoup, je vais bien.

Je resta un instant sans bouger puis repris :

- Va voir les autres Pépite, je ... j'ai ... j'ai quelque chose à faire.

Je passa devant Pépite, arrivant dans l'allée de l'écurie, je n'avais plus qu'une chose en tête, trouver Légende, trouver son box, la sortir de ce cauchemar pourtant réel.

Je vit BalckJack arrivé derrière la fumée.

BlackJack ! Tous va bien ?

Je voyait tous les chevaux s'enfuir, j'avais peur. Les flammes s'approchait de plus en plus et devenaient de plus en plus haute. Une planche de bois presque enflammée me tomba dessus. Je hennie de douleur espérant qu'un cheval viendrait m'aider.

Les hennissements, les fumées épaisse à l'odeur acre, les sabots qui martelaient le sol de l'écurie et les flammes sortant du foin et aux ustensiles inflammables, ces flammes aux couleurs de ma robe. On se serait cru dans un mauvais rêve, mais il n'en était rien.

Je saisissais le loquet entre mes dents, celui-ci glissait, en même temps j'observais autour de moi, des chevaux que je n'avais pas encore côtoyer n'était pas loin de moi, j'aperçus également un peu plus loin Pépite, BlackJack, Banco, Holly Hop et Echec. Ce dernier attira mon attention, il était là devant moi et je n'avait aucune affection pour lui, pourtant je le fixa. D'un ultime coup de dent je retira le loquet, me retourna lança une légère ruade qui termina mon travail, la voie était libre ...

Je m'approcha d'Echec avec arrogance :

- Tu attends quelques choses ?

Banco me remercia et me dit qu'il avait quelque chose en tête. Je ne chercha pas à savoir et lui dit:

- De rien...

Je continua à libérer les chevaux quand je tomba sur un Frison que je connaissais déjà: Échec. Il était avec une jument nommée: Odyssée. Je leur dit:

- Tout va bien ?

J'entendis un bruit de sabot.
Je m'en aprocha et vit une jument noire taper à la porte de son box.
je lui ouvrit le loquet pour l'aider a sortir.
A ce moment je vis une planche enflammé tomber sur Aurore.
Je me précipita vers elle.
-Aurore !!!
Je vis BlackJack arriver.
-Il faut qu'on réussise à sortir de l'écurie !
Les flammes étaient partout.
Mes yeux me piquaient et j'avais une envie immense de sortir de l'écurie et de m'enfuir au triple galop mais je resta a coté de Aurore, pour l'aider.
-Ca va ?

Echec

Je met ma queue en panache et la regarde avec un sourire narquois.
- Oui. Qu'on m'ouvre. A quoi sa sert que vous vous agitiez pour rien, vous vous fatiguez et vous inhaler des vapeurs toxiques, alors que moi je suis calme, je peux donc vivre plus...
Je fais un vif écart pour éviter une poutre en feu qui me passe à coté.
- ...longtemps.
Je la regarde avec ironie puis regarde les flammes qui dansent autour de moi sans la moindre frustration.