Balade du 13 au 19 (2)

Mon cavalier avait appeler les palefreniers pour qu'ils viennent chercher Firefly et l'emmener chez le vétérinaire après quoi nous étions en route pour le village .
Sur le chemin j'avais essayer de grignoter quelques herbes mais mon cavalier s'était opposé à cette idée . Enfin , j'aperçus les premières maisons et mon cavalier me talonna et je partis au galop en direction du Village .

A l'entrée du village , quelques enfants vinrent nous caresser . Le directeur ordonna l'arrêt à tous les cavaliers de s'arrêter pour laisser le temps aux petites humains de nous caliner .
Après une dizaine de caresse et de mots gentils , noue reprenions la route au pas en marchant sur la rue pavée .

Firefly partit dans un camion suivit des hommes vêtus de blancs. J'étais assez triste pour elle, la pauvre. Si je croise encore ce Paul un jours il allait payer !
Nous galopions au petit galop sur la plage. Mon pelage avait sécher, et ma robe brillait au soleil. Nous arrivions dans le village. Pleins de petits enfants courraient vers nous pour nous faire des papouilles. Moi j'étais plutôt chanceux car un enfant me donna un bout de carotte. L'air fier, je me pavanais dans le village, l'encolure courbée, les oreilles pointées en avant, j'allongeais mes petites foulées. Les enfants qui regardaient rigolaient et me trouvais trop mignon à cause de ma petite taille. Nous arrivions dans une allée où le sol était pavé. J'étais juste derrière Mingo, la différence de taille était flagrante. Mes fer glissaient un peu sur les pavés et me faisait souvent perdre l'équilibre. Nous nous stoppâmes à un feu, je profita pour baisser la tête et croquer deux trois brins d'herbes. Aona répliqua et s'énerva, le directeur repartit loin devant mais moi je continuais à manger. Aona me donna un coup de cravache sur l'épaule. Je relava la tête d'un coup net, donna un petit coup de cul pour montrer mon désaccord et rattrapa Mingo au trot.

Je n'arrêtais pas de penser à Firefly, la mine triste, le pas lent quand Léa me donna un vif coup de cravache. J'hennis et partit dans un galop déchainer, surpris. Léa perdit ses étriers, lâcha les rênes et tomba sa bombe par terre. Elle réussi à récupérer les rênes et tira fort dessus. Elle me descendit pour ramasser sa bombe, la remit et me remonta. Elle me talonna et je me mis au pas. Je me retrouva à coté d'un poney alezan qui faisait ma taille et qui lui aussi, avait l'air triste. Je lui dit alors :

Salut, moi c'est Flocon, je suis nouveau au centre, toi aussi tu te fais du soucis pour Firefly ?

- Bonjour et Bienvenue Flocon. Je suis Joker, dis-je d'un air bienveillant.
J'étais serte triste mais j’espérais que ça ne se voyait pas. Je lui dit doucement :
- Oui mais je pense qu'elle est entre de bonnes mains. Je lui fît un petit clin d'oeil c'est alors que ma cavalière repris mes rênes et me remis bien à ma place derrière Mingo.

Merci ! Je l'espère, oui !

Comme la cavalière de Joker, Léa me mit bien en ligne, derrière Joker

Ophélie observait le paysage, elle flânait devant une boutique de vêtements. Arrêter non loin du groupe, deux enfants vinrent me câliner, les yeux ailleurs je pensais à mon amie Firefly.
Puis reprenant mes esprits je secoua la tête faisant sursauté un des enfants, ceux-là aperçurent d'autres chevaux et s'y dirigèrent.
Je fis un signe à Ophélie en tirant sur les rênes, elle compris que je souhaitais rejoindre les autres, je tourna et me mis derrière la file, mes sabots sur les pavés résonnaient fortement.

Léa me talonna et je partit au galop. Elle se retourna et cria au directeur :

Au revoir monsieur le directeur !

Elle me ramena au centre, vers les douches

Lili continuais de me faire suivre Odyssée. Après que de nombreux petits soient venus nous caresser, nous repartîmes derrière Mingo. Nous traversâmes le petit village avant de revenir sur la route que je connaissais : celle du centre équestre.