RENDEZ-VOUS du 6 au 12 !

J'attendais mes amis dans le souterrain quand j'entendis des bruits de sabots . Peut-être Invité pensais-je en croquant une pomme qui trônait sur le tas que j'avais volé dans le verger .
J'étais excité à l'idée de revoir ma belle et Forever . Tellement excité que je ne vis pas l'équidé arrivé .

Je m'avançais d'un pas léger dans le souterrain, ce lieu où les équidés peuvent enfin faire tout ce qui leur étaient interdit dans le monde des hommes.

J'aperçus la frimousse de mon beau Tonnerre, je ne voyais pas mon fils, maintenant qu'il grandissait, il ne pensait plus beaucoup à sa maman. Sans m'adresser à Tonnerre, je me glissa sur le côté discrètement, dans l'angle je l'observais ...

J'alla dans le souterrain secret et j'y aperçus : Odyssée, Tonnerre et ma petite pouliche préférée, Précieuse. En arrivant, je dit à Précieuse :

Coucou ma p'tite pouliche, sa va bien ?!

Je me retourna alors et, en regardant Odyssée et Tonnerre, dit :

Eh bien , il n'y a pas Forever avec vous ?!

C'est au petit trot que j'arrivais dans le souterrain. C'est avec un hennissement joyeux que je saluais tout le monde. Un seau de carotte dans la bouche que j'avais piqué au palefrenier en venant pour l'occasion. Je le déposa aux pieds des équidés et m'écria :

- Salut tout le monde ! Qui a faim ?

Sans attendre leur réponses je pris une carottes entre mes dents que je garderais pour plus tard car dans peu de temps il n'y en aurais surement plus.

J'attendis alors la réponse de Tonnere...

[ les cavaliers ne viennent pas ici ! Editez ]

- Je vais très bien , merci Précieuse . répondis-je en voyant Odyssée .
Je m'approchai d'elle et lui dit :
- Je te cherchais ! Puis j'enfouis mes naseaux dans sa crinière . Elle sentait la rose , et je failli me laisser emporter part des rêves doux quand elle me dit :
- .....

En attendant la réponse de Tonnerre, je dis à Nawak :

Nawak, coucou, sa va bien ?! Moi j'ai un petit creu !

En disant ces mots, je piqua une carrotte à Nawak dans son seau

- Comment vas mon poney préféré ? soufflais-je tendrement dans l'oreille de Tonnerre.

Je trottinais dans la pénombre jusqu'au souterrain. Je salua tous le monde à mon entré et alla rejoindre tout le monde, je restais le nez bas, et semblais ailleurs.
Je pris un carotte pour paraître plus discret, je n'avais aucune envie que mes amis s'inquiètes sur mon état. Je relevais la tête pour regarder l'entrée, des bruits de sabots arrivaient de ci de là. J'attendais avec espoir voir la robe alezane de ma promise mais rien. Aucun shetland ne passait cette foutu porte. Je re-baissa le nez sur ma carotte et commença à la croquer.

- Bien mais je me demande où est forever ....
Au moment où je prononçais ses paroles , je vis un petit poney dans un coin . Au début , je crus que je ne le conaissais pas et m'avança mais je m'aperçus que c'était Joker ! Le shetland jadis plein d'énergie était une bête bien négligée à présent .
- Joker , qu'est-ce qui ne va pas ?
J'avais pitié pour le shetland et ej pensais avoir une petite idée de se tristesse mais il répondit :
-....

Je regarda Tonnerre l'air vexé :
- Non je n'ai rien, pourquoi ?
Tonnerre me regarda avec considération, je ne pouvais délibérément pas cacher mes sentiments devant ce poney Fjord. Je lui dit tout bas à l'oreille pour éviter que tout le monde l'entende :
- Cela fait très longtemps que je n'ai pas vu Idylle et cela me rend triste, tu n'aurais pas des nouvelles d'elle par hasard ?
Je fjord hocha la tête et je retomba dans ma tristesse. Je priais pour qu'elle vienne à la fête et continuais je fixer l'entré sans cligner des yeux, les oreilles dressées vers l'avant.

J'étais triste pour Joker , tout le monde s'amusait sauf lui ! Je voulus lui demander si il voulait chercher Forever avec nous quand je vis .... MON FILS ! Forever trottinait droit vers Odyssée et moi . Une fois à notre hauteur , je lui dis :
- Alors mon grand , tu as rencontré des copains ?

Entrais timidement dans la grotte. D'immenses chevaux de toutes races et de toutes conditions parlaient gaiement entre eux. J'avais la maigre impression de me sentir à part. Je chercha dans la foules des museaux connues et apperçu Forvever aux cotés de son père, les seuls poneys que je connaissais. Je m'approcha d'un pas hésitant et timide, ce qui ne me ressemblais pas beaucoup et dit tout bas :
- Salut..
En espérant n'avoir dérangé personne.

[Forever n'est pas ici désolé dans le RP au stabulation poulain j'avais noter qu'il allait ailleurs]

[oki , mais dépêche-toi de venir , ton père t'attend ^^]

J'ouvris les yeux ... Forever n'était pas là ...J'avais sans doute rêvé . J'allais revenir vers ma belle Odyssée quand je vis la petite pouliche que j'avais rencontré dans les près . Elle était d'une jolie couleur appaloosa et semblait tout et timide .
- Salut , je ne t'ai pas déjà vu dans les près ?

Je m'approcha de Tonnerre qui discutait avec une jolie petite pouliche, au creux de son oreille, je lui confia :

- Oh regarde cette belle pouliche, elle me fait penser à notre beau Forever, qu'est-ce qu'il était mignon à cette âge là !

- Et il le sera toujours .... répondis-je à Odyssée en chuchotant .
Puis j'aperçus un seau plein de carottes , je me jeta dedans et après quelques kilos avalé , je ne sentais plus mon estomac.

Je fis un coup de museau à Tonnerre.

- Espèce de gros gourmand, tu ne seras plus capable de sauter si tu continue à manger comme ça ! Dis-je sur un ton amusée.

- Désolé ... répondis-je à Odyssée quand je fus saisit d'un horrible mal de ventre .
Je ne voulais pas que la jument palomino le sache alors j’essayai de me comporter normalement.
J'observais les autres chevaux qui discutaient , je vis Pépite , Nawak , Précieuse , et plaisn d'autres équidés mais je cherchais Forever , mon fils .

Je m'adressa à un de mes amis en lui disant :

- Mais où sont donc les juments ce soir ?

- Eh moi ! m'indignais-je Je suis peut-être une pouliche mais je suis néanmoins une jument comme toi.lui dis-je l'air vexée.
Mais je ne le resta pas longtemps, mes oreilles se dressaient vers un seau, je m'approcha et sentis une odeur sucrée me monter aux narines. J'attrapa une carotte entre mes petites dents de lait et essaya de la croquer. Après de longues minutes à la mâchouille sans pourtant réussir à la croquer. Je la posa par terre d'un air triste et gratta le sol pour l'ensevelir et que personne ne voit.

- Je ne voulait pas de vexée. Dis-je doucement à la pouliche tachetée. Mais je parlais des mes amies de longues dates du centre équestre, mes voisines de box si tu préfères.