Petit poulain part a l'aventure

Après mettre échapper de ma stalle, je cherchais quelque chose à me mettre sous la dent. J'apercevais les prés où l'herbe avait l'air délicieuse.

La tête pencher en train de brouter, je ne faisais pas attention au monde extérieur. Soudain, je fus surpris par un occupant du pré ...

J'étais arrivé dans le pré un peu avant mon fils et comme celui-ci venait d'arriver , je me précipitai vers lui en l'appelant :
- Forever !
Il se retourna et je partis d'un un trot léger à sa rencontre puis après quelques calins , je lui dit:
- Ta drôlement grandis , tu sais ! Tu vas bientôt me dépasser ....

Je regarda mon papa quelques instant, je baissa mes yeux, réfléchissa très vite, il ne fallait pas qu'il se doute que j'avais fuguer.

- Bonjour mon papa dis-je en caracolant sur mes pattes longues attacher à mon corps trapu.

Je m'arrêta à son niveau et repris :

- Oui je suis grand maintenant mais tout les palefrenier me traite comme un bébé ! Pourtant je sais tout faire !!

Je me mis à galoper sur quelques foulées, me retourna, trébucha et revient vers Tonnerre comme si de rien n'était.

- Hum repris-je, je ne pense pas être plus grand que maman, mais peut-être plus grand que toi, mais t'inquiète pas je t'aime très fort. Je fourra mes naseau contre la crinière épaisse et apaisante du poney fjord.

J'arrivai au trot paisiblement.... Je sentais que j'étais bientôt adulte... Je vis Forever au loin avec son papa. Je ne voulais pas les déranger donc je broutais en espérant que Forever me voit... En tout cas je vois d'où vient sa beauté ...

Trop heureux de voir mon amie Cookie au loin, j'avais de ce faite la possibilité de m'éclipser sans avoir à expliquer à Tonnerre comment je m'étais retrouver dans le pré.

Je regarda Tonnerre et lui dit :

- Je vais m'amuser avec mon amie papa ... je m'éloigna au petit trot puis au grand trot vers Cookie.

- Salut Cookie ... S'il te plait, fais comme ci j'étais ici depuis longtemps, j'ai fugué de mon box, je ne veux pas le dire à Tonnerre sinon je risque de me faire gronder chuchotais-je a la pouliche arabe.

Je chuchota à Forever

Ok ça marche ! Tu m'expliqureas tous ça plus tard bon en attendant reste zen et ne fais comme si rien c'était passé ! je fit un clin d'œil au poulain et m'évadat au galop puis je revint car je venais de remarquer que j'avais oublier une phrase Fait comme si on avait pas parler ! Sinon il va se douter de quelque... et la j'étais déjà repartit en esperant que Forever avait compris que je voulais dire quelquechose

Je n'avait pas bouger un sabot lorsque je vis la pouliche partir au galop je me suis dis " Elle est étrange parfois Cookie, pourquoi est-elle partit comme ça puis revenue mais bon je l'apprécie comme ça "

Je fixais étrangement Cookie et lui demanda :

- Euh Cookie tu fais quoi, mon père est juste à quelques mètres. Moi je ne bouge pas d'ici ! Dis-je d'un ton résigner.

Tournant le dos à Tonnerre, je regardais la grande pouliche aux allures relevé.

Je me mit au trot jusqu'a arriver à Forever et je lui chuchota

Quand on me dit des secret je suis comme ça !!

Et puis une envie me pris par la tête et je cria

J'ai une de ces envies de faire du dressaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaage !!

[Tonnerre tu peux me prendre pour une folle stp]

Mes yeux étaient grands et écarquillés. Je fixaient la pur sang étrangement, la pouliche joueuse avait drôlement changer en grandissant et un caractère de "fofolle" se faisait savoir. Je me disais dans ma tête, que plus tard, en reprise, j'allais bien rigoler avec cette future jument. Je me mis a penser à elle est moi dans les même reprise dans quelques années. Moi je serais comme papa pensais-je !

De ce faite, un sourire un peu bête se lisait sur mon visage encore poulain.

Je sentait bien que le mimi poulain ce moquait de moi mais c'était pas ma faute j'avais 3ans & demi (ça bug a chaque fois que je veut changer sur la feuille de l'équidé) j'avais envie d'être grande maintenant et je dis a forever

Tu n'as jamais eu envie d'être grand ?

- Oh si, c'est d'ailleurs une des raisons de ma fugue ... dis-je le plus bas possible un peu génée.

Chut ! dis je pour reprendre le dessus pour éviter l'écoute de Tonnerre

Je lança un sourire rassuré à Cookie.

J'attendais de voir si Tonnerre allait venir vers moi où s'il allait partir. Je cherchais dans ma tête une façon de répliquer dans l'une ou l'autre situation.

Quelle folle cette pouliche ! Elle sautait partout , criait , franchement , la fréquentation de mon fils n'était pas exemplaire . Mais comme je les avais entendus parler de moi , se méfier , me lancer des coups d'oeil comme s'y ils me cachaient quelque chose , je me décidai à m'approcher de cette folle .
- Alors Forever , on cache des choses à son père ? demandais-je à mon poulain .

- Pourquoi voudrais-tu que je te cache quelques chose papa ! dis-je d'un ton sec et sûr de moi.

J'étais content j'avais réussi à parler sans émettre de doute, Tonnerre aura beaucoup de mal à voir que je lui ment.

- Je disais juste à Cookie que tu allais la trouver "bizarre" si elle se mettait à crier ... Et c'est le cas à ce que je vois.

Finalement le comportement de Cookie me servait bien pour contourner ce mensonge. Je m'approcha de Cookie et commença à la taquiner comme un poulain pour montrer à Tonnerre que j'étais encore petit et innocent ... mais bien sûr c'était une couverture !

Arrivée au pré, le palefrenier me détacha puis me flatta l'encolure avant de s'éloigner. Je broutta un peu d'herbe, mais des bruits de sabots me firent relever l'encolure. Je m'approcha au petit trot et vis Tonnerre, Forever, et Cookie.
En arrivant, je dis au groupe de chevaux :
"Salut tout le monde, comment ça va ??"

- Salut Idylle ! dis-je à la ponette shetland , puis , je me retournai vers mon fils et dit :
- Tu ne te serais pas échapper de la stabulation par hasard ? demandais-je à mon poulain puis voyant qu'il se dandinait d'un sabot sur l'autre je continuai :
- Je fesai pareil quand j'étais petit , allez profites-en !

- Salut Idylle, je m'approcha de la shetland que j'appréciais beaucoup et me rendis vraiment compte que j'avais grandis. Il y a quelques temps j'étais à sa taille dorénavant je la dépasse vraiment !

Quand mon père me posa la question de "est-ce que je m'étais échapper, je sentis son regard sur moi, je leva les yeux et le fixa j'étais pétrifier puis il ajouta que poulain, cela lui arrivais de s'enfuir et qu'il fallait que je profite moi aussi de ma jeunesse. Sous ses paroles, mes yeux devinrent 2 grosses billes rondes, puis une étincelle de bonheur jaillit, je fis un petit bond, leva mes antérieurs me fourra dans les crins de mon papa, le serra très fort, souffla dans ses naseaux.

- Merci papa, je t'aime ... Je ... Je ... Je suis désolé de t'avoir mentis, mais effectivement je me suis enfuis de ma stabulation, marre d'être enfermer à rien faire ! J'avais envie de me défouler...

Encore tout heureux, je caracola autour de Tonnerre, passa devant Cookie posa mon chanfrein contre le sien en dansant puis m'avança vers Idylle lui grattouillant amicalement le garrot, je trotta jusqu'à l'entrée du pré me badinant l'air un peu bête, j'aperçus un cavalier "oups retour à la réalité faut pas qu'on me découvre" Je fis volte-face, galopa de nouveau vers la petite troupe qui n'avait pas bougé et me cacha derrière Tonnerre le temps que le cavalier s'éloigne.

Je regardais le poulain galoper dans le pré. Ça c'est sûr, il était heureux...
Puis il revînt soudainement se cacher derrière son père pour que le cavalier qui entrait dans le pré ne le découvre pas. Je dis à Tonnerre :
"Et au fait, comment ça va ? Depuis l'histoire des loups..."

Après la reprise de saut. Lucas m'enleva la selle et me passa soigneusement le bouchon. J'avais le pelage gorgé de sueur et il du me passer le couteau de chaleur. Une fois à peu près sec. Il m'enfila un licol rouge et me mena jusqu'à mon box. Il ouvrit la porte. Mais il n'y avait personne dans ma stabulation. Je poussa un ronflement de tristesse. Lucas me fît faire le tour de l'écurie pour essayer de chercher la ponette alezane. Puis soudain il me dit :

- Bon bah.. je vais mettre un peu au pré !

Il mena jusqu'au pré et détacha le licol. Il me tapota l'encolure avant de me donner une grosse claque sur la croupe pour me faire partir. Je partis au petit galop, crinière au vent et queue en panache. Je sentis soudain un parfums sucré que je connaissais bien. Je suivis l'odeur et aperçu ma princesse au détour d'une colline. J'arriva au petit galop en envoyant voler ma crinière de haut en bas. Je m'approcha de ma ponette adoré et passa mon museau dans son encolure en poussant un doux soufflement. Une fois le petit câlin passé, je me tourna vers Tonnerre et le petit Forever qui avait bien grandis, je lui dit :

- Hey bien Forever, tu as encore grandis à ce que je vois !

Le jeune poulain qui m'arrivait autrefois au garrot me dépassait maintenant largement. Je piaffa et tapa du sabot et fouetta de la queue, une mouche qui c'était posée sur ma croupe. Je regarda Idylle d'un air amoureux.

- Et oui j'ai beaucoup grandis dis-je au poney shetland et maintenant j'ai aussi un ventre beaucoup plus gros !! Je suis sûr que je te bat si on fais un concours que celui qui mange le plus de carotte !!!

Je regarda le ciel en pensant à un camion de carotte ... qui a dit que la gourmandise était un vilain défaut ^^ ?

- Je veux bien participer à votre p'tit concours ... On commence tout de suite ? dis-je en rigolant , puis je me baissais pour attraper une jolie pâquerette et je la mis dans les crins de mon poulain :
- Là , tu es encore plus beau !

Joker nous avait rejoins. Il était super sympa avec le petit forever qui blaguait avec lui. Je m'approcha de mon beau Joker en lui câlinant l'encolure et dit a forever :
"C'est vrai qu'entre vous deux, je ne sais pas qui battrai l'autre !!"

Je baissa l'encolure pour saisir une poignée d'herbe et la lancer en l'air. Les brins d'herbes retombaient doucement sur le sol. Je tapa du sabot contre la terre et m'exclama :

- Alors, on commence quand ?

Je me mis à trottiner vers la barrière et chercha en vue un seau de carotte. j'aperçu un palefrenier qui s'approchait avec un seau de pomme. Il m'en donna une que je mâchouilla puis quand il le posa par terre, je tendis l'encolure et l'attrapa. Je repartit en trottinant dans le pré, la palefrenier criait d'énervement derrière moi mais je ne me retournais même pas. J'arriva au près de mes compagnons et déposa le seau, il était moins rempli car j'avais semé quelques pommes un peu partout dans le pré en le rapportant. Je leur dit :

- Bon c'est pas des carotte mais ça fera l'affaire, non ?