Petite ballade entre amoureux.

Nous avions maintenant quittés le lac, et nous avions traversé une forêt. Nous arrivions devant les montagnes.
La neige avait légèrement fondu, mais il restait quelques centimètres à certains endroits.
Nous nous approchâmes d'un grand ruisseau dut a la fonte des neiges.
L'eau était glacée. Je le traversa rapidement pour ne pas trop me mouiller; et m'arrêta quand je l'avais traversé pour attendre Joker.
Je bus une gorgée d'eau car j'avais très soif, puis attendis mon beau Joker qui traversait le ruisseau.

Nous traversâmes une rivière. Idylle qui était plus courageuse que moi s'élança en premier dans l'eau gelée. Je la suivit d'un air peu rassuré. Je déposa un sabot dans l'eau et ceci me gela le corps entier. Je resta quelques secondes sans bouger tellement ça venait de me perforer le corps. Je déposa ensuite un autre sabots puis marcha vite pour atteindre le plus vite la berge, je levais haut les sabots hors de l'eau puis sortit fièrement de l'eau gelée. Idylle se pencha près de l'eau pour boire tandis que moi je piaffais sur place pour réchauffer mes sabots congelés. Quand Idylle eût finis nous repartîmes dans l'ascension de notre montagne au pas pour ne pas nous fatiguer. Je passais sous un arbre et j'eu une idée farouche. J'invita ma belle à passez devant et quand elle fut sous l'arbre, je donna un vif coup de rein pour faire tomber la neige mais rien de ne passa. Idylle poursuivit donc sa route. J'étais un peu énervé et rua sur l'arbre, la neige se décida enfin à tomber mais je n'eût pas le temps de me pousser et je fus ensevelis sous la neige. Idylle accourut en rigolant tandis que moi je sortais la tête de la neige en m'ébouant.

Je ne sais pas quelle idée Joker avait eu en tête, mais, quand je me retourna, je le vis ensevelit sous de la neige qui venait de tomber d'une branche.
Je me dirigea tranquillement vers lui en rigolant.
Je lui dit d'un air blagueur :
"Alors, qu'est ce qu'il t'es arrivé ?"
Toujours en train de rire, je m'approcha de lui et l'aida a se sortir de là avec ma tête.
Il rua un bon coup pour se débarrasser de la neige qui n'était pas partie quand il s'était levé, mais la poudreuse atterrit sur ma croupe. Glacée, je me secoua rapidement comme un petit chien, puis regarda Joker :

( Maintenant , il n'y a plus de neige ! )

[ Si ! ]

Je me leva sans un mot. Dans ces moments là, il valait mieux ne rien dire surtout quand on venait d'être pris par sa propre farce. Je regarda ma compagne d'un air coquin puis partit au petit trot dans l'ascension de la montagne.

Après quelques heures de marche, nous étions au sommet et pouvions voir les environs. Le soleil commençait à décliner dans le ciel et laissait peu à peu un ciel orangé. Idylle me rejoint et fourra sa tête dans ma crinière. Mon coeur battait fort. J'étais tellement heureux. Je regarda en contrebas, sur les collines qui bordaient la forêt et j'aperçu au loin notre centre équestre. Il y avait plein de couleurs et de banderoles, cela devait être pour le concours de cross. J'aperçu des silhouettes équines sans pour autant savoir de qui il s'agissait. Je demanda a Idylle :
- A t'on avis, qui a remporté le concours de cross ?

Joker s'était remis de "la chute de neige" et il continua sans parler de monter.

Plus tard, je le vis s'arrêter pour regarder le centre équestre. Il me demanda qui avait gagné le concours de cross d'après moi.

Je lui répondis, hésitante :
"Heu... Je sais pas trop, peut être Tonnerre, ou Odyssée..."

Nous continuâmes notre montée vers les montagnes encore un peu enneigées.
Comme nous étions presque arrivés, je lui demanda :
"On accélère ?"

Je répondis à ma belle d'un hochement de tête et partis au petit trot dans la pente. Plus nous montions en altitude, plus il faisait froid et le sol était gelée. Nous les shetlands étions connus pour nos poils épais et surportant les plus dures fraicheur de l'hiver. Idylle et moi n'avions donc aucun problème. Enfin juste un :

Après avoir monter quelques mètres, je me retourna vers Idylle qui était un peu en contrebas pour l'informer :

- Attention le sol n'est pas staaaaaaaaable

Le sol se déroba sous moi, mon postérieurs glissa subitement et dévala la pente suivit par mes autres membres, je m'écroula de tout mon long et glissa la pente rocailleuse. Mon ventre frappait lourdement le sol sans que je ne puisse rien faire. Je dévala une longue pente et finit par m'arrêter sur un éboulis de pierre coupantes et sales. L'éboulis qui me suivait m'ensevelis peu a peu, ne laissant sortir de terre que ma tête et mon poitrail. J'étais allongé, le regard vide, encore complètement étonné et surpris de ce qui venait de ce produire. Idylle descendit la pente doucement en prenant garde de ne pas glisser sous les gravas et arriva a mon chevet.

Je trottai derrière Joker quand je l'entendit parler.
Je n'avais pas compris ce qu'il voulait me dire jusqu'à ce que je le voit glisser et tomber quelques mètres plus bas : j'avais compris ce qu'il voulait me dire.
Je me dépêcha de le rejoindre sans me précipiter pour ne pas tomber a mon tour.
Arrivée a ses côtés, je lui demanda, inquiète :
"Joker, est ce que ça va ?!"
J'essaya de l'aider en poussant les pierres qui l'ensevelissaient, mais en vain : dès que j'en soulevais une, une autre retombait.
Je lui dis alors, pour le rassurer, même si je ne l'étais pas plus que lui :
"Heu... T'inquiète pas, on va trouver une solution !"
Je continua alors a pousser les lourdes pierres.

Je regardais Idylle d'un air désespéré. Encore un peu secoué par le choc. Je commença a m'agiter pour faire tomber les gravas de mon corps mais il revenaient sans cesse et je me recouvrais encore plus.
Après de longues heures d'acharnement pour rien, Idylle et moi étions tout les deux très fatigués et les lourds gravas pesait lourdement sur mon ventre me faisais souffrir. Je chuchota à Idylle :

- Idylle...Va chercher de l'aide...va chercher de l'aide au centre équestre. Nous n'y arriverons pas tous seul...

Je m'arrêta quelques secondes pour reprendre mon souffle et ajouta :

- Tu n'auras pas le temps de retourner au centre équestre avant la fin de la nuit. Cour plutôt chercher Banco et Légende ! Je crois qu'ils sont à la ferme ! Dépêche toi tu les trouveras surement, s'ils ne sont pas déjà partis.

Je ferma les yeux de douleur pour me reposer un peu puis les rouvrit pour entendre la réponse d'Idylle.

Voyant que ça ne servait a rien, Joker me demanda d'aller chercher Banco et Légende à la ferme. Je glissa à Joker :
"Ne t'inquiète pas, on reviendra bientôt !"
Je fis alors un demi tour et partit en direction de la ferme au galop.

Je regarda ma compagne partir au triple galop à travers la forêt en espérant y trouver Banco et Légende. Je continua de la regarder jusqu'à ce que sa croupe en forme de coeur disparaisse à travers les arbres de la forêt.
J’espérais qu'elle reviendrait vite et décida de dormir un peu pour me reposer.
Je ferma les yeux et m'endormis.

Idylle et moi arrivèrent au côté de Joker.

-Joker ... m'écriai-je d'une voix à la fois forte et tremblante. J'étais très ému de voir mon ami ainsi, lui qui était si joyeux d'habitude.

Sans attendre, je poussa de toutes force les grosses pierres avec mon large chanfrein osseux. Je réussi rapidement à un retirer une, mais il y en avait encore de nombreuses. Alors que je dégageai une seconde pierre, je vis son ventre reprendre une grande bouffé d'air.
Idylle à côté de moi aidait également à dégager le poney des gravas, cette ponnette était surprenante tant son courage était grand.

[comme je suis absente, je vous laisses me faire jouer]

J'essayais d'aider le grand cheval bai.
Je poussais tant que je pouvais les gravas pour dégager mon beau Joker en le réconfortant :

"T'inquiète pas, on y est presque !"

Après de longues minutes d'efforts, Joker pus enfin se dégager. Moi et Banco le poussâmes des naseaux.
Une fois sortit de ses cailloux, je m'approcha de Joker et lui fit un câlin du nez.
Il était sale, poussiéreux et avec même quelques petites égratignures sur le flanc.

Banco nous dit alors :
"On devrait rentrer au centre équestre, qu'en dites vous ??"

Sa faisait une demie-heure que je galopais portant le directeur sur mon dos , le van nous suivaient . Enfin , j'aperçus 3 silhouettes . Je reconnus Banco à ses larges épaules , Idylle à sa finesse et Joker car il était couché par terre .
Le directeur sauta à terre , je le suivit et nous arrivâmes à côté des équidés .
- On va faire monter Joker dans le van , il n'est pas en état de voyager . cria le directeur au palefrenier une fois qu'il eu examiner le shetland .
- Mais on ramène comment les autres ? demanda le palefrenier qui relevait Joker .
- Je les prend en licol et je monte sur Tonnerre , je pense qu'avec eux le voyage se passera bien .
Je vis mon cavalier passé le licol à Idylle et Banco pendant que le palefrenier montait Joker dans le van .
Après quelques moments de repos , le directeur reprit place sur mon dos ( toujours à cru et en longe ) avec les longes des deux équidés dans sa main gauche et ma longe dans la main droite .
Nous trottions dans la descente quand je m'arrêta . Une meute de loup était devant nous . Normalement ils étaient peureux face aux hommes mais j'avais eu l'occasion de découvrir leur côté sanguinaire dans le camp de deux jours .
.....

En trottant à côté de Tonnerre et de Banco, je ne regardais pas où j'allais, mais l'herbe qui longeait le chemin, jusqu'à ce que je sente que l'on s'arrêtait.
Je regarda devant moi, et vis une meute de loups.
Stupéfaite et apeurée, je commença a me cabrer, mais comme ma longe était trop courte, je ne pus continuer.
Je fit un pas en arrière pour ne pas me retrouver face aux loups ; Banco fit comme moi.
Je demanda aux deux chevaux, très inquiète : "Heu... Comment on fait dans ce cas là ?"

Le palefrenier me mis dans le van où je me coucha pour reprendre des force. Le camion démarra. Après quelques minutes de transport j'eut comme un mystérieux pressentiment. J'avais peur. Je ferma les yeux en essayant de me calmer mais en déduit tous le suite : Idylle à un problème !

Idylle a un problème je le sent ! m'écriais-je en hennissant.

Je me leva sur mes jambes encore un peu tremblant. Une fois mon équilibre assuré je commença a taper le mur du van de toute mes forces en décochant des ruades. Le palefrenier arrêta le camion car il se demandait ce qu'il se passait et descendit. Il ouvra la porte du van pour tenter de me calmer mais je réussis à passer dans l'ouverture et à m'échapper. Je partis en galopant dans les prés d'un air inquiet. Je remonta le bois et arriva au pied dans montagne, les naseaux dilatés pour mieux sentir le parfum de ma belle. Dans la montée, je sentis son odeur et fût un peu rassuré mais je sentis une autre odeur étrange suivis de hurlement aigu : des loups !
Mon coeur s’accéléra et je grimpa la monté à vive allure, je ne sentais plus ma blessure au flanc, car l'amour que j'avais pour Idylle guérissait mes blessures. J'aperçu au loin la silhouette fine et délicate de ma princesse, j'arriva en quelques foulées à ces cotés et me plaça devant elle. Elle semblait quelques peu surprise mais rassuré, je lui dit dans le creux de l'oreille :

- Ne t'inquiète pas Idylle, je suis là tous va s’arranger, je vais te protéger même au péril de ma vie.

Le directeur était descendu . Je ne paniquais pas car j'en avais déjà rencontrer une fois . Je restais à côté de mon maître quand celui-ci sortit une sorte de fusil . Comme je l'avais déjà vu en faire usage , je savais qu'on n'étais plus en danger à présent .
Une décharge retentit , mais aucun loup ne fut touché . Une deuxième, aucun loup ne fut touché mais quelques canidés s'éclipsèrent dans les bois , bientôt suivit de tous . Non , non ... Pas tous ! Il en restait trois face à nous et je compris que le directeur n'avait plus de cartouches ....
Le plus gros des loups s'approcha en grognant . Je fis un signe de tête à Banco pour lui dire que le seul moyen était de se défendre .
- Banco , il faut protéger Idylle et Joker ! Ils sont trop petits pour attaquer et ils ne sont pas en état . Comme moi et toi à part sa tout va bien ... pensais-je .

Un loup de jeta sur mon cavalier qui était à présent sur mon dos . Avant que je puisse le défendre ( mon cavalier pas le loup ), le diercteu l'envoya balader grâce à la crosse de son fusil . Mais l'animal n'était pas mort , il se releva , du sang coulait sur sa tête . Il attaqua encore plus dangereusement . Il se jeta sur mon encolure , je sentis ses crocs chercher ma gorge quand un coup de sabot d'un de mes amis envoya le loup par terre .
......

Un peu rassurée par la présence de mon beau Joker, je recula d'un pas, quand même un peu inquiète.
Un autre loup bondit vers moi et Joker, mais Banco se mit devant nous et rua sur le loup, qui, blessé a la poitrine, s'éclipsa quelques secondes, puis revint à la charge en nous montrant les crocs.
Je me serra très fort contre Joker.
Un autre loup qui était resté en arrière jusqu'à maintenant s'approcha de nous et nous montra les crocs, à moi et Joker. Nous reculâmes tous les deux d'un pas mais les deux "grands" nous défendirent.
Les autres loups resté en arrière nous montrèrent encore les crocs a tous les quatre.

Pendant la bataille, un loup gris marron qui semblait avoir une bonne carrure passa devant Idylle, l'air assoiffé de sang, il n'avait pas du manger depuis longtemps. Je regarda le loup avec fureur et piaffa d'énervement. Celui-ci tournait autour de nous et cherchait le bon moment pour attaquer. Je me plaçais devant Idylle pour la protéger du prédateur.
Le loup passa derrière moi, s'arrêta puis bondis sur mon dos. Je m'y attendais en décocha une ruade dans le poitrail brun du loup. Le carnivore retomba lourdement sur le sol et resta quelques secondes inerte. Puis il releva ses membres 1 à 1 pour nous regarder d'un air encore plus vorace. Il se rua sur moi et essaya de me mordre le buste mais il me rata de peu et sa mâchoire claqua dans le vide. Il recula de quelques pas puis retenta une attaque en montant sur mon dos en plantant ses crocs écarlates dans mon encolure. Je mis mis à ruer et a me cabrer mais le monstre était bien accrocher, les dans incrustées dans mon dos. Au fur et à mesure que le combat perdurait, je m’essoufflais et me fatiguais. Mais il fallait que je tienne bon où alors je terminerais dans l'estomac de ses canidés. Du sang rouge vif coula doucement sur mes yeux et ma vision devient trouble, d'ici quelques minutes je risquait de m'écrouler. Soudain Une idée de vient soudain comme tombé du ciel. Je me rappela de la manière où j'avais fait tomber ma cavalière en balade. Je galopa vers un arbre et fonça dedans avec toute mes forces du cotée au était accroché le loup. Mon flanc s'écrasa contre l'arbre et je sentis les os du canidés se casser les uns après les autres. La mâchoire se desserra puis lâcha prise. Je m'écarta de l'arbre et vu le loup tombé au sol, mort, un filet de sang sortant de la bouche. Je me retourna vers Idylle, envoyant ma crinière mouchetée de sang derrière mon oreille pour lui crier :

- Idylle Court ! Sauves toi !

Il en restait plus qu'un loup , celui-ci partit vite fait bien fait quand il s'aperçut qu'il était le dernier .
Le palefrenier amena des seau d'eau ( c'était que ce qu'il avait pour nettoyer nos plaies ) et un chiffon .
Le directeur trempa un chiffon dans l'eau et me le posa sur l'encolure , c'était froid mais rassurant .
Je regarda du côté de Joker et je vis qu'il était rouge de sang sur tout son corps . J'hennis pour prévenir le diercteur et celui-ci se dépêcha d'aller "mouiller" ses plaies

Je m'approcha de Joker, qui avait la crinière rouge de sang.
Je lui chuchota :
"Merci"
Je ne pouvais pas dire plus, j'étais comme paralysée par la peur. Je lui avais dit qu'un "Merci" minable, alors qu'il venait de me sauver la vie.
Le palefrenier s'approcha de nous, soigna rapidement Banco qui n'avait presque rien, puis s'approcha de moi et Joker.

Comme je n'étais pas blessée, il me prit en licol et m'attacha au van.
Je regardais attentivement Joker et les autres chevaux.
Le palefrenier revînt quelques minutes plus tard, Banco en licol, et l'attacha a côté de moi.
Je ne pouvais pas lui parler, la langue trop sèche d'inquiétude.
Le directeur et le palefrenier s'approchèrent maintenant de Joker qui était resté plus loin.

Après cette rude bataille, je ne sentais plus mes jambes et je me laissa brutalement tomber sur le sol de fatigue. Idylle accourra à mes cotés et baissa la tête vers moi. Je redressa la tête dans sa direction et lui léchouilla le museau en lui disant :

- Ne t'inquiète pas, je vais bien...

Je grimaça et fronça le nez quand le directeur passa la serviette froide et humides sur mes plaies douloureuse. Je lui demanda en serrant les dents pour ne pas montrer mon malaise et lui demanda :

- ça va ? Tu n'es pas blesser ??

Je pivota la tête pour essayer d'inspecter le corps de ma bien aimé et vérifié qu'elle n'avait pas de blessures. Le directeur me remis un coup d'éponge froide et je me retourna vers lui en essayant de le mordre mais mes dents claquaient sourdement dans le vide. Une fois ma "toilette" terminée je me releva encore un peu fébrile. Idylle semblait très bouleversé et préoccupé, elle avait du avoir la peur de sa vie. Je m'approcha et passa mon museau dans sa crinière en soufflant doucement pour la réconforté. Tonnerre s'approcha de nous et je lui dit :

- Merci beaucoup d'être venue pour nous aider.

Je marquais une petite pause puis continua :

- Mais nous aurions pu nous en sortir tous seul ! Clamais-je d'un air hautain.

Je regarda Idylle et lui dit :

- Tu sais, la journée de noël n'est pas terminé, que dis-tu de continuer notre ballade.


Je savais que Idylle allait me répondre négativement à cause de mon état et c'est pour cela que je saisis le noeux du licol et tira un coup sec pour la détacher, Je partis ensuite au galop vers les montagnes, le palefrenier essaya de me barrer le passage mais je l'esquiva facilement. Je partis assez loin en espérant de Idylle me suivait toujours. Ce n'est que quelques foulées plus en amont que je m'arrêta et regarda derrière moi.

( Merci de ne pas me faire parler et Les Montagnes sont en rénovations donc on doit finir ce RP le plus vite possible )

J'étais surpris par la réponse du shetland mais je en répondis rien . Le directeur remonta sur mon dos et attacha Banco et Idylle derrière moi . Idylle n'avait aucune blessure mais en revanche le trotteur en avait plusieurs .
Le palefrenier finit par rattraper Joker et le directeur me talonna pour rentrer au pas .

Mais euuh ! Pourquoi tu fais jouer mon perso. Moi je veux continuer le RP
J'ai horreur que l'on prène des décisons à ma place. Tu n'as qu'a enlever tous les messages des montagnes sauf celui là.
Ralalaah...ça m'énerve !Je crois que je vais arrêter de parler ou je vais finir vulgaire. Nan mais sincèrement ça m'énerve, les gens qui veulent pas qu'ont joue leur perso mais qui joue celui des autres... Pfff