L'été, le soleil, les prairies ...

Il fait chaud, le soleil est très présent ces jours-ci. Les palefreniers nous laisse souvent au pré, j'aime être au pré, je me sent plus libre que dans ma stabulation avec les autres jeunes poulains.

Broutant l'herbe tendre, je chassais les mouches à l'aide de ma queue, un palefrenier m'avait enfiler un bandeau anti-mouche, j'adore ! Une invention très pratique, les mouches, elles ne doivent pas vraiment apprécier ...

Le problème, je n'y vois pas toujours très claire avec, j'aperçus une silhouette d'équidé, un double-poney pensais-je. Sans savoir qui c'était, je m'exclama :

- Salut !

Un poulain avec le masque de fantôme comme disais-je c'était approché de moi. Le soleil était étouffant, j'espérais qu'un brins de pluie viennent tombée sur nos pelage humide de transpiration.

Je regardai le poulain de Tonnerre. Il me regardai bizarrement, mais a travers on doit rien voir, je ne pouvait même pas voir la couleur de ses yeux. - Salut !sortit de sa voix. Je devrai lui parler pour éviter de penser a ma Calipso car je ne savait pas où elle était et elle me manquait énormément. Je suis comme Joker sans Idylle, Holly Hop sans Daryus, mais pour moi c'est la fin du monde !!

Bonjour ... dis-je d'une voix triste en pensant à la plus belle jument du monde. Si seulement le monde était fait de choses joyeuses mais Dieu en avait décidé autrement.

Le soleil devenait de plus en plus étouffant au fur et a mesure que je pensais à Calipso et à Okapi (notre poulain non validé). Je savais qu'elle attendait un autre poulain mais, il était surement né et avec ma Calipso sans moi, il devait s'amuser sans penser a son père. Si un cheval en âge de faire des reprise se présente devant moi, je lancerai la recherche de Calipso avec lui. Calipso, ce n'est pas qu'une simple femelle, c'est la jument de ma vie. Pris de désespoir je ne put m'en empêcher de crier Calipsoooooooooo. Toute ma tristesse s'entendit dans ma voix. Calipsoooooooooooo tu me maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaanques ! Puis je m'abattit de tristesse devant le poulain qui ce demandai pourquoi j'étais comme ça.

J'espérais que quelqu'un avait entendu mes appel mais, surtout, Calipso !

Je reconnu la voix de Jumper qui repondit à mon salue. Soudain, le poney comme transformé, ce mis à crier :

"Calipsoooooooooo. Calipsoooooooooooo tu me maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaanques !"

Puis, de tristesse j'imagine s'effondra au pied de mes petits sabots. Je m'approcha au niveau de sa tête, souleva son toupet du bout de mon museau, malgré mon masque anti-mouche, je le distinguais assez nettement de près. Je l'observa sans un mot puis ajouta :

- Bah alors Jumper, tu ne vas pas bien, tu es malade ? Moi qui ne suis encore qu'un poulain "ado", je ne comprenais pas que l'on puisse être fou d'amour pour une jument ! J'aimait profondément mes parents mais étant très solitaire avec eux, je continua en disant : Tu sais Calipso, elle vas revenir tant fais pas ... dis-je sur un ton sans vraiment d’intérêt.

[UP ! Peluche tu m'a demander un RP avec Jumper merci de le continuer je me sens un peu seule là --' ]

[Désolé moi être en vacances.]